Page 1 sur 1 • Partagez
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander
Comme la fois précédente, elle quitta le bureau d'Alexander en sa compagnie. Il l'accompagna pendant quelques dizaines de mètres, accompagné d'Harry qui trottinait à côté d'eux d'un air heureux, la queue dressé en clef de sol, visiblement heureux que son maître décide de regagner son lit à une heure décente.
Arrivé à l'embranchement que leurs couloirs respectifs, ils se souhaitèrent bonne nuit. Elia serrait toujours contre sa poitrine le dossier bleu foncé. Même si c'était totalement irrationnel, elle voyait un signe dans le choix de la couleur de la chemise qu'il avait choisi pour abriter les éléments concernant la potentielle future vie. Elia adorait le bleu.
Encore perturbée par la proposition de l'élégant anglais, elle fit les derniers mètres qui la séparait de sa petite chambre. Une fois entrée, elle posa le dossier sur le bureau qui se trouvait derrière la porte, bien décidée à ne pas y retoucher. Elle avait besoin de digérer leur discussion et sa proposition avant de pouvoir étudier d'un œil objectif le contenu du dossier.
Pour quelqu'un ne la connaissant pas, la vie d'Elia pouvait ressembler à une succession de coup s de tête. Elle avait quitté l'école et commencé à travailler comme femme de ménage à 16 ans, quand elle avait rencontré le premier garçon qui avait compté dans sa vie... même si avec le recul, elle se rendait compte qu'il n'avait pas été si important.. comment s'appelait-il d'ailleurs ? Mike ? Miles ? Elle avait quitté sa ville natale, Derry, pour suivre le « minable numéro 3 » comme elle l'appelait (entre temps, il y avait eut « minable numéro 2, celui à qui elle devait ses problèmes de nutrition).
Mais elle ne considérait pas Mr Hoffmann comme une de ses « minables », c'est d'ailleurs bien ça qui la perturbait et lui faisait penser qu'il fallait qu'elle étudie sa proposition avec une attention toute particulière.
Et pourtant, chacune de ses décision avait été mûrement réfléchit à l'aulne des informations qu'elle avait à ce moment-là et de ses sentiments. La seule qu'elle regrettait vraiment était sa relation avec « minable numéro 2 ». D'ailleurs, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas penser à prendre la boisson hypercalorique que lui avait prescrit le docteur Taylor-Laurence aujourd'hui, et qu'elle ne s'était même pas pesée.
Oubliant le dossier, elle commença par se diriger vers sa salle de bain pour une bonne douche. Une fois propre, ses longs cheveux lavés effleurant ses fesses faméliques, elle décida de se peser. Elle faillit pousser un cri que joie en s’apercevant qu'elle avait pris 3 kg depuis son passage à l'infirmerie quelques jours plus tôt. Elle nota dans un coin de son esprit de piquer quelques unes des jolies fleurs de la serre pour les offrir à la belle doctoresse qui lui avait offert ce produit miracle.
Elle enfila le t-shirt quatre tailles trop grand pour elle qu'elle utilisait comme chemise de nuit avant de se glisser entre ses draps. Avant d'éteindre sa lampe de chevet, elle jeta un œil au dossier bleu qui semblait l'appeler sur son bureau. Mais, elle résista. Elle en connaissait les grandes lignes.
Malgré tout, elle savait qu'elle aurait du mal à trouver le sommeil. Elle se décida donc à ouvrir le tiroir de sa table de nuit, où était ranger une tablette d’anxiolytique. Il y avait des mois qu'elle n'y avait pas touché. C'était le docteur Beckett qui les lui avait prescrits à son arrivée, après lui avoir fait lui aussi la morale sur son poids. Elle était sensée n'en prendre qu'un demi, mais vu son état d'excitation, elle jugea préférable d'en prendre un entier.
Le lendemain, elle émergea en milieu de matinée. Ce n'était pas un problème, vu que son service ne commençait pas avant une heure de l'après midi. Elle prit le temps de trainasser un peu dans son lit. Même si elle avait parfois des problèmes d'endormissement à cause de son esprit qui était incapable de lâcher prise, elle aimait dormir et s'attarder un peu dans les brumes du sommeil lorsque son réveil sonnait.
Après une dizaine de minutes paresseuses, elle se décida à se lever. Le dossier bleu l'appelait sur la console, mais elle décida de l'ignorer tant qu'elle ne serait pas passer par la salle de bain et la cafet' pour son café matinal.
En revenant, elle se sentait prête à affronter le cadeau que le hasard lui avait fait. Elle ouvrit le dossier bleu et en étudia attentivement chaque page. Elle sourit en voyant la présentation de Brigitte. La jeune femme guère plus âgée qu'elle semblait avoir un sacré tempérament. Elia s'attarda sur les photos qui était jointe au dossier.
Brigitte semblait changer souvent de couleur de cheveux. Sur certaines photos elle était blond platine, sur d'autres, elle était rousse comme un renard. Elle avait un visage rond, des lunettes aux couleurs éclatantes et un sourire communicatif. Même sur les photos, son caractère solaire ressortait.
Niveau vestimentaire, elle semblait avoir un style bien à elle et plutôt coloré. C'était une femme plutôt ronde, mais à qui la rondeur allait bien. Elia se rendit compte qu'elle avait hâte de faire sa connaissance, avant de secouer la tête en se rappelant qu'elle n'avait toujours pas pris de décision ferme et définitive.
Elle prit son poste à l'heure prévue, sa décision prise. Malheureusement, quelques circonstance indépendante de sa volonté l'obligèrent à modifier son planning du jour. Elle espéra que Mr Hoffman ne s'offusquerait pas d'un retard de quelques heures pour sa réponse... mais bon, vendredi soir ou samedi matin, elle ne voyait pas trop ce que ça pourrait changer. Et puis, il était bien placé pour savoir que dans le cadre du boulot, on ne faisait pas toujours ce qu'on voulait.
Elle alla même jusqu'à pouffer en imaginant sa surprise en voyant une autre qu'elle venir faire son boulot à l'heure habituelle. Elle s'interrogea également sur l'heure à laquelle il se levait... Elle n'avait pas oublié sa boutade sur le fait qu'elle pourrait le surprendre en peignoir. Si Elia était discrète, ça ne voulait pas dire qu'elle était timide. Elle n'éprouvait aucune gêne particulière à aller frapper à la porte de ses appartement et à se trouver nez à nez avec un Mr Hoffmann en peignoir... au contraire même, elle se disait que ce serait intéressant de voir s'il était aussi impressionnant dans cette tenue.
Le samedi donc, Elia s'habilla de façon décontractée. Si comme elle l'espérait elle le surprenait dans une tenu légère, autant qu'elle ne soit pas elle même tiré à quatre épingle. Elle choisit un t-shirt rose pale à col bénitier, qui dévoilait légèrement une épaule frêle et une clavicule saillante, tout en mettant en valeur sa taille minuscule. Pour l'accompagner, elle choisit un de ses éternels pantalon noir et fluide. Elle laissa ses long cheveux libres. Si elle devait travailler avec lui dans le futur, il lui faudrait s'habituer à avoir une assistante au look plutôt décontracté. Mais, s'il avait travaillé longtemps avec Brigitte, son look ne devrait pas être un problème pour lui.
Elle prit son dossier sous le bras et se dirigea vers les quartiers d'Alexander. Elle prit soin de ne pas s'y présenter trop tôt, il devait avoir beaucoup de sommeil en retard, mais pas trop tard non plus, pour être sûr qu'il y soit. Arrivé devant sa porte, elle prit une grande inspiration pour se donner du courage et frappa.
Lorsqu'il ouvrit la porte, elle sourit.
- « Bonjour Mr Hoffman, je ne vous dérange pas j'espère. » dit-elle avec un immense sourire espiègle en voyant sa tenue.
Comme la fois précédente, elle quitta le bureau d'Alexander en sa compagnie. Il l'accompagna pendant quelques dizaines de mètres, accompagné d'Harry qui trottinait à côté d'eux d'un air heureux, la queue dressé en clef de sol, visiblement heureux que son maître décide de regagner son lit à une heure décente.
Arrivé à l'embranchement que leurs couloirs respectifs, ils se souhaitèrent bonne nuit. Elia serrait toujours contre sa poitrine le dossier bleu foncé. Même si c'était totalement irrationnel, elle voyait un signe dans le choix de la couleur de la chemise qu'il avait choisi pour abriter les éléments concernant la potentielle future vie. Elia adorait le bleu.
Encore perturbée par la proposition de l'élégant anglais, elle fit les derniers mètres qui la séparait de sa petite chambre. Une fois entrée, elle posa le dossier sur le bureau qui se trouvait derrière la porte, bien décidée à ne pas y retoucher. Elle avait besoin de digérer leur discussion et sa proposition avant de pouvoir étudier d'un œil objectif le contenu du dossier.
Pour quelqu'un ne la connaissant pas, la vie d'Elia pouvait ressembler à une succession de coup s de tête. Elle avait quitté l'école et commencé à travailler comme femme de ménage à 16 ans, quand elle avait rencontré le premier garçon qui avait compté dans sa vie... même si avec le recul, elle se rendait compte qu'il n'avait pas été si important.. comment s'appelait-il d'ailleurs ? Mike ? Miles ? Elle avait quitté sa ville natale, Derry, pour suivre le « minable numéro 3 » comme elle l'appelait (entre temps, il y avait eut « minable numéro 2, celui à qui elle devait ses problèmes de nutrition).
Mais elle ne considérait pas Mr Hoffmann comme une de ses « minables », c'est d'ailleurs bien ça qui la perturbait et lui faisait penser qu'il fallait qu'elle étudie sa proposition avec une attention toute particulière.
Et pourtant, chacune de ses décision avait été mûrement réfléchit à l'aulne des informations qu'elle avait à ce moment-là et de ses sentiments. La seule qu'elle regrettait vraiment était sa relation avec « minable numéro 2 ». D'ailleurs, elle se rendit compte qu'elle n'avait pas penser à prendre la boisson hypercalorique que lui avait prescrit le docteur Taylor-Laurence aujourd'hui, et qu'elle ne s'était même pas pesée.
Oubliant le dossier, elle commença par se diriger vers sa salle de bain pour une bonne douche. Une fois propre, ses longs cheveux lavés effleurant ses fesses faméliques, elle décida de se peser. Elle faillit pousser un cri que joie en s’apercevant qu'elle avait pris 3 kg depuis son passage à l'infirmerie quelques jours plus tôt. Elle nota dans un coin de son esprit de piquer quelques unes des jolies fleurs de la serre pour les offrir à la belle doctoresse qui lui avait offert ce produit miracle.
Elle enfila le t-shirt quatre tailles trop grand pour elle qu'elle utilisait comme chemise de nuit avant de se glisser entre ses draps. Avant d'éteindre sa lampe de chevet, elle jeta un œil au dossier bleu qui semblait l'appeler sur son bureau. Mais, elle résista. Elle en connaissait les grandes lignes.
Malgré tout, elle savait qu'elle aurait du mal à trouver le sommeil. Elle se décida donc à ouvrir le tiroir de sa table de nuit, où était ranger une tablette d’anxiolytique. Il y avait des mois qu'elle n'y avait pas touché. C'était le docteur Beckett qui les lui avait prescrits à son arrivée, après lui avoir fait lui aussi la morale sur son poids. Elle était sensée n'en prendre qu'un demi, mais vu son état d'excitation, elle jugea préférable d'en prendre un entier.
***
Le lendemain, elle émergea en milieu de matinée. Ce n'était pas un problème, vu que son service ne commençait pas avant une heure de l'après midi. Elle prit le temps de trainasser un peu dans son lit. Même si elle avait parfois des problèmes d'endormissement à cause de son esprit qui était incapable de lâcher prise, elle aimait dormir et s'attarder un peu dans les brumes du sommeil lorsque son réveil sonnait.
Après une dizaine de minutes paresseuses, elle se décida à se lever. Le dossier bleu l'appelait sur la console, mais elle décida de l'ignorer tant qu'elle ne serait pas passer par la salle de bain et la cafet' pour son café matinal.
En revenant, elle se sentait prête à affronter le cadeau que le hasard lui avait fait. Elle ouvrit le dossier bleu et en étudia attentivement chaque page. Elle sourit en voyant la présentation de Brigitte. La jeune femme guère plus âgée qu'elle semblait avoir un sacré tempérament. Elia s'attarda sur les photos qui était jointe au dossier.
Brigitte semblait changer souvent de couleur de cheveux. Sur certaines photos elle était blond platine, sur d'autres, elle était rousse comme un renard. Elle avait un visage rond, des lunettes aux couleurs éclatantes et un sourire communicatif. Même sur les photos, son caractère solaire ressortait.
Niveau vestimentaire, elle semblait avoir un style bien à elle et plutôt coloré. C'était une femme plutôt ronde, mais à qui la rondeur allait bien. Elia se rendit compte qu'elle avait hâte de faire sa connaissance, avant de secouer la tête en se rappelant qu'elle n'avait toujours pas pris de décision ferme et définitive.
Elle prit son poste à l'heure prévue, sa décision prise. Malheureusement, quelques circonstance indépendante de sa volonté l'obligèrent à modifier son planning du jour. Elle espéra que Mr Hoffman ne s'offusquerait pas d'un retard de quelques heures pour sa réponse... mais bon, vendredi soir ou samedi matin, elle ne voyait pas trop ce que ça pourrait changer. Et puis, il était bien placé pour savoir que dans le cadre du boulot, on ne faisait pas toujours ce qu'on voulait.
Elle alla même jusqu'à pouffer en imaginant sa surprise en voyant une autre qu'elle venir faire son boulot à l'heure habituelle. Elle s'interrogea également sur l'heure à laquelle il se levait... Elle n'avait pas oublié sa boutade sur le fait qu'elle pourrait le surprendre en peignoir. Si Elia était discrète, ça ne voulait pas dire qu'elle était timide. Elle n'éprouvait aucune gêne particulière à aller frapper à la porte de ses appartement et à se trouver nez à nez avec un Mr Hoffmann en peignoir... au contraire même, elle se disait que ce serait intéressant de voir s'il était aussi impressionnant dans cette tenue.
Le samedi donc, Elia s'habilla de façon décontractée. Si comme elle l'espérait elle le surprenait dans une tenu légère, autant qu'elle ne soit pas elle même tiré à quatre épingle. Elle choisit un t-shirt rose pale à col bénitier, qui dévoilait légèrement une épaule frêle et une clavicule saillante, tout en mettant en valeur sa taille minuscule. Pour l'accompagner, elle choisit un de ses éternels pantalon noir et fluide. Elle laissa ses long cheveux libres. Si elle devait travailler avec lui dans le futur, il lui faudrait s'habituer à avoir une assistante au look plutôt décontracté. Mais, s'il avait travaillé longtemps avec Brigitte, son look ne devrait pas être un problème pour lui.
Elle prit son dossier sous le bras et se dirigea vers les quartiers d'Alexander. Elle prit soin de ne pas s'y présenter trop tôt, il devait avoir beaucoup de sommeil en retard, mais pas trop tard non plus, pour être sûr qu'il y soit. Arrivé devant sa porte, elle prit une grande inspiration pour se donner du courage et frappa.
Lorsqu'il ouvrit la porte, elle sourit.
- « Bonjour Mr Hoffman, je ne vous dérange pas j'espère. » dit-elle avec un immense sourire espiègle en voyant sa tenue.
La pirole déploie ses ailes (et son culot)
PV ELIA FISCHER & ALEXANDER HOFFMAN
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander



La fin de semaine se faisait sentir, l'anglais, avait de plus en plus hâte d'être en jour de repos, pour rattraper son quota d'heure de sommeil déficient. Et puis finir cette semaine, où il avait l'impression de ne plus toucher terre. Il croulait sur diverses tâches et autres réunions pour la mise en place de ce projet. Encore un petit coup de collier et il aura une semaine plus légère lundi. Puis bon, l'anglais avait ajouté d'autres tâches à son emploi du temps bien charger. Comme le recadrage de l'une de ses manager du pôle archéologie, Kelly Riker et la mise en place du dossier d'Elia. Mine de rien cela prend du temps.
Il ne vit pas la journée, passée, ce qui le réveilla de ses longues tirades de travail acharné, était la présence de la jeune femme brune du CIS. Erin, était venue le chercher, accueillant Harry avec une certaine affection. Elle dut se rapporter du bureau, pour capter l'intention de l'homme, plonger dans les calculs d'un budget tarabiscoter. Après quelques insistances (faut dire que l'homme la taquinait et cela était réciproque), ils partirent manger. Et il dû reconnaître qu'elle avait bien eue raison de le pousser à manger au Mess (mais il ne lui ferait pas le plaisir de le reconnaître), au lieu d'une énième salade ou sandwich. Il avait besoin de faire une pause pour s'oxygéner les neurones et penser à autre chose. Et rien de mieux que de le faire en compagnie d'une amie, à travers des boutades et des rires.
Une fois de retour dans son bureau, ce fut cette fois, la venue d’une femme de ménage qui mit fin à sa journée. Il était 21h30 et suffisamment tard. Quand, son regard se leva sur la jeune femme, il fut surpris de ne pas voir Elia. Intrigué, il pencha la tête sur le côté, observant la demoiselle qui se mit à rosir immédiatement. D’un haussement d’épaule, il clôtura son dossier, enfin terminer, fermant son ordinateur et souhaita une bonne soirée à son interlocutrice. Avec sa charge de travail, il en avait oublié qu’il était censé recevoir une réponse de la part de la jeune Pirolle verte. Bon, tant pis, pour elle, elle lui donnerait lundi. Peut-être avait-elle eu besoin de plus de temps ? Une grande hésitation ? Ou simplement le manque de temps, tout comme lui.
Il regagna ses quartiers, pour finir sous une douche salvatrice et s’endormir immédiatement après. Même s’il serait bien sorti au Bar Athosien, mais on verra ça demain soir. Après tout le week-end ne venait que de commencer. Hors, là vu son état de fatigue avancée et son quota d’heure en négatif, son corps lui disait un beau et magistral « merde ».
N'ayant pas fermé les volets de sa chambre, des rayons du soleil vinrent lui picoter les paupières. Éveillant l'homme aux alentours des 8h50. Il s'étira de tout son long, remarquant qu'il avait dû avoir une nuit agitée, car l'un de ses oreillers avait embrassé le sol. À la plus grand joie d'Harry qui ronronnait dessus en boule.
Le matou, n'avait pas le droit de partager le lit de son maître. Question d'hygiène, mais surtout de sommeil. Dormir avec un animal, était tout bonnement mauvais, car les mouvements de celui-ci, ou les instances pour vous faire ouvrir les yeux, déclenchait des micro réveil, qui nuisaient à votre sommeil réparateur. Ainsi, Harry, avait été dressé depuis tout petit, pour s'assoupir dans son panier dans le petit salon et non dans la chambre qui était caché par un paravent en bois. Il fallait au moins, avoir un mur fictif pour faire comprendre à l'animal qu'il n'avait pas le droit d'être là. Hors, l'anglais se doutait que l'animal, trouvais bien agréable de quand même se clisser au pied du lit pour dormir quelques heures avec son humain. Après, tout le chat, n'avait pas le droit de dormir sur ou dans le lit, mais pas d'être à côté.
Il ne choisit pas de se lever immédiatement, s'étirant pour attraper son oreiller fuyard. Il resta allongé dans les draps frais, réajustant ses oreillers, profitant de ce matin sans vraiment se presser. Il est bon parfois, de savoir prendre son temps et de profiter de quelques minutes de quiétudes, avant de plonger dans la fourmilière d'Atlantis… Il commençait à s'assoupir de nouveau, quand le bip de la porte le fit sursauter. Tiens donc il avait de la visite ?
Le petit chat, s'étira à son tour pour trottiner vers la porte. L'anglais, soupira, qui pouvait venir lui rendre visite à 9h00 un samedi matin ? Il n'y avait pas beaucoup de solutions… sûrement Erin, qui avait dégoté une drôle d'idée. Pourtant, il n'avait pas perdu de pari… donc… il se leva, cherchant son peignoir bleu marine. Un vêtement assez élégant d'une couleur sombre et douce. Une simple bande argentée venait décorer le col et la ceinture de celui-ci.
Il soupira, ce n'est pas vraiment une tenue pour accueillir quelqu'un, dans un sens c'est mieux que parfaitement nu ou juste en boxer. Seul élément qui habillait l'homme en quittant son lit, avant d'enfiler le peignoir. Dans un sens, Erin l'avait déjà vu en sous-vêtements… enfin sans son pantalon, puisqu'elle avait eu la bonne idée de demander à une tigresse Tairis de lui retirer. D'ailleurs, peut-être que c'est pour ce pari perdu, qu'elle venait lui rendre une petite visite et lui donner l'action à faire ? Finalement, il avait presque oublié qu'elle avait gagné...pas très habitué d'être le perdant.
Il marcha jusqu'à sa porte, un petit sourire aux lèvres, trouvant une vacherie à lui sortir. Il est certain que la belle consultante aurait le droit à quelques pics pour la charrier sur ses envies matinales. Il passa sa main sur les cristaux de control, poussant du pied un chat curieux. Il baissa machinalement la tête pour observer l'animal qui ronchonnait. L'anglais commença à parler d'un ton amusé.
Il venait de relever la tête, apercevant une toute autre jeune femme que la consultante. Le visage de l'homme qui était fendu d'un grand rictus radieux se referma immédiatement à la vue d'Elia… il ne s'attendait pas à voir son petit minois… mais alors pas du tout. Il la toisa quelques seconds un peu interloqués. Sur le coup il se demandai bien ce qu'elle fichait là…
Puis, il se souvenu de leur discussion et pu que se rendre à l'évidence qu'elle avait un sacré culot la demoiselle. Un fin sourire s'esquissa sur ses lèvres blanches, il était amusé, mais ne le montrait que très peu. Ça commence bien. Si avec ça, elle ne lui donne pas une réponse positive, elle aura foiré son entrée.
Il ne vit pas la journée, passée, ce qui le réveilla de ses longues tirades de travail acharné, était la présence de la jeune femme brune du CIS. Erin, était venue le chercher, accueillant Harry avec une certaine affection. Elle dut se rapporter du bureau, pour capter l'intention de l'homme, plonger dans les calculs d'un budget tarabiscoter. Après quelques insistances (faut dire que l'homme la taquinait et cela était réciproque), ils partirent manger. Et il dû reconnaître qu'elle avait bien eue raison de le pousser à manger au Mess (mais il ne lui ferait pas le plaisir de le reconnaître), au lieu d'une énième salade ou sandwich. Il avait besoin de faire une pause pour s'oxygéner les neurones et penser à autre chose. Et rien de mieux que de le faire en compagnie d'une amie, à travers des boutades et des rires.
Une fois de retour dans son bureau, ce fut cette fois, la venue d’une femme de ménage qui mit fin à sa journée. Il était 21h30 et suffisamment tard. Quand, son regard se leva sur la jeune femme, il fut surpris de ne pas voir Elia. Intrigué, il pencha la tête sur le côté, observant la demoiselle qui se mit à rosir immédiatement. D’un haussement d’épaule, il clôtura son dossier, enfin terminer, fermant son ordinateur et souhaita une bonne soirée à son interlocutrice. Avec sa charge de travail, il en avait oublié qu’il était censé recevoir une réponse de la part de la jeune Pirolle verte. Bon, tant pis, pour elle, elle lui donnerait lundi. Peut-être avait-elle eu besoin de plus de temps ? Une grande hésitation ? Ou simplement le manque de temps, tout comme lui.
Il regagna ses quartiers, pour finir sous une douche salvatrice et s’endormir immédiatement après. Même s’il serait bien sorti au Bar Athosien, mais on verra ça demain soir. Après tout le week-end ne venait que de commencer. Hors, là vu son état de fatigue avancée et son quota d’heure en négatif, son corps lui disait un beau et magistral « merde ».
N'ayant pas fermé les volets de sa chambre, des rayons du soleil vinrent lui picoter les paupières. Éveillant l'homme aux alentours des 8h50. Il s'étira de tout son long, remarquant qu'il avait dû avoir une nuit agitée, car l'un de ses oreillers avait embrassé le sol. À la plus grand joie d'Harry qui ronronnait dessus en boule.
Le matou, n'avait pas le droit de partager le lit de son maître. Question d'hygiène, mais surtout de sommeil. Dormir avec un animal, était tout bonnement mauvais, car les mouvements de celui-ci, ou les instances pour vous faire ouvrir les yeux, déclenchait des micro réveil, qui nuisaient à votre sommeil réparateur. Ainsi, Harry, avait été dressé depuis tout petit, pour s'assoupir dans son panier dans le petit salon et non dans la chambre qui était caché par un paravent en bois. Il fallait au moins, avoir un mur fictif pour faire comprendre à l'animal qu'il n'avait pas le droit d'être là. Hors, l'anglais se doutait que l'animal, trouvais bien agréable de quand même se clisser au pied du lit pour dormir quelques heures avec son humain. Après, tout le chat, n'avait pas le droit de dormir sur ou dans le lit, mais pas d'être à côté.
« Harry, oust » dit l’homme dans un bâillement.
Il ne choisit pas de se lever immédiatement, s'étirant pour attraper son oreiller fuyard. Il resta allongé dans les draps frais, réajustant ses oreillers, profitant de ce matin sans vraiment se presser. Il est bon parfois, de savoir prendre son temps et de profiter de quelques minutes de quiétudes, avant de plonger dans la fourmilière d'Atlantis… Il commençait à s'assoupir de nouveau, quand le bip de la porte le fit sursauter. Tiens donc il avait de la visite ?
Le petit chat, s'étira à son tour pour trottiner vers la porte. L'anglais, soupira, qui pouvait venir lui rendre visite à 9h00 un samedi matin ? Il n'y avait pas beaucoup de solutions… sûrement Erin, qui avait dégoté une drôle d'idée. Pourtant, il n'avait pas perdu de pari… donc… il se leva, cherchant son peignoir bleu marine. Un vêtement assez élégant d'une couleur sombre et douce. Une simple bande argentée venait décorer le col et la ceinture de celui-ci.
Il soupira, ce n'est pas vraiment une tenue pour accueillir quelqu'un, dans un sens c'est mieux que parfaitement nu ou juste en boxer. Seul élément qui habillait l'homme en quittant son lit, avant d'enfiler le peignoir. Dans un sens, Erin l'avait déjà vu en sous-vêtements… enfin sans son pantalon, puisqu'elle avait eu la bonne idée de demander à une tigresse Tairis de lui retirer. D'ailleurs, peut-être que c'est pour ce pari perdu, qu'elle venait lui rendre une petite visite et lui donner l'action à faire ? Finalement, il avait presque oublié qu'elle avait gagné...pas très habitué d'être le perdant.
Il marcha jusqu'à sa porte, un petit sourire aux lèvres, trouvant une vacherie à lui sortir. Il est certain que la belle consultante aurait le droit à quelques pics pour la charrier sur ses envies matinales. Il passa sa main sur les cristaux de control, poussant du pied un chat curieux. Il baissa machinalement la tête pour observer l'animal qui ronchonnait. L'anglais commença à parler d'un ton amusé.
« Décidément je vais finir par croire que la petite sirène, n’apprécie pas les panta….*voix qui baisse de ton* lons».
Il venait de relever la tête, apercevant une toute autre jeune femme que la consultante. Le visage de l'homme qui était fendu d'un grand rictus radieux se referma immédiatement à la vue d'Elia… il ne s'attendait pas à voir son petit minois… mais alors pas du tout. Il la toisa quelques seconds un peu interloqués. Sur le coup il se demandai bien ce qu'elle fichait là…
Puis, il se souvenu de leur discussion et pu que se rendre à l'évidence qu'elle avait un sacré culot la demoiselle. Un fin sourire s'esquissa sur ses lèvres blanches, il était amusé, mais ne le montrait que très peu. Ça commence bien. Si avec ça, elle ne lui donne pas une réponse positive, elle aura foiré son entrée.
« J’espère qu’avec cette étonnant culot, vous ne me ferrez pas l’affront de me dire non ? ».
black pumpkin
_________________

Alexander Hoffman
Double comptes : Isia Taylor-Laurence & John Sheppard & Naalem Lays & Elana Ravix //écriture : firebrick
La porte s'ouvrit sur un Mr Hoffman vêtu d'un peignoir bleu sombre, agrémenté de légères ornementations argentés au col et à la ceinture. Visiblement, il aimait beaucoup le bleu. Le léger vêtement était toutefois bien décevant, ne révélant que les mollets du jeune homme.
Elia avait espéré le surprendre dans une situation où il serait moins guindé, moins sérieux, mais visiblement, même lorsqu'il dormait Alexander devait le faire avec une grande classe. Avec son peignoir et ses chaussons élégants, il était encore l'incarnation parfaite de ce qu'on pouvait imaginer concernant un gentleman anglais. En fait, elle pouvait presque l'imaginer assis dans un fauteuil en cuir, une pipe à la main.
Elle faillit rire lorsque l'image qui s'était formée dans son esprit se superposa à celle d'un vieux film de Sherlock Holmes qu'elle avait vu, mais son sourire se mua en une légère moue. Elle aurait bien aimé le découvrir un peu plus humain.
A cette heure, seul l'immense sourire éclairant son visage, et ses propos concernant une petite sirène qui n'appréciaient pas les pantalons pouvaient paraître incongrus... Mais la jeune femme savait bien que ni le sourire ni les mots ne s'adressaient à elle. D'ailleurs, la fin de sa phrase s'évanouit, ainsi que son sourire, lorsqu'il découvrit que la personne qui se tenait devant sa porte n'était pas la petite sirène espérée, mais juste un petit passereaux moins fantastique et totalement inattendu.
Elia craignit un instant de se faire rembarrer. Elle avait eu l'occasion de voir combien le jeune homme, tout en restant parfaitement courtois pouvait être cassant. Elle avait eu l'impression que leur discussion sur le peignoir de Mr Hoffman était un petit défit, qu'elle avait été bien trop amusée de relever. Peut-être s'était-elle trompée ? Elle s'inquiéta. S'il était vraiment contrarié de la voir sur le pas de sa porte, il pourrait décider de retirer son offre. Se dire qu'il n'avait pas envie d'une assistante aussi culottée. Ce n'était peut être pas une bonne idée de venir le surprendre à cette heure matinale.
Pourtant, elle avait l'impression que c'était justement le culot qui l'amusait. Elle avait lu la biographie de Brigitte qu'il avait joint à la présentation de l'entreprise et de la formation. L'opulente blonde semblait elle même bien pourvu niveau audace, ne serait-ce qu'au niveau de ses goûts vestimentaires.
Elle n'eut pas le temps de s'inquiéter longtemps. La première surprise passée, les fines lèvres d'Alexander s'étirèrent à nouveau en un sourire énigmatique. Même si ce sourire était relativement inexpressif, juste l'expression qu'il n'allait pas la pourrir, là, tout de suite, dans le couloir, elle devina un certain amusement. Visiblement, il ne s'attendait pas à ce que la discrète Elia se pointe à la porte de sa chambre, mais son audace ne semblait plus l'amuser que l'agacer.
- « Je suis désolée de vous avoir posé un lapin hier soir, mais j'ai eu un petit imprévu. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. » dit-elle en se baissant pour gratifier le greffier qui se frottait à ses chevilles de quelques caresses.
Elle profita de cette position propice pour jeter un regard appréciateur aux mollets de Mr Hoffman, puisque c'est tout ce qu'elle avait à se mettre sous les yeux. Il n'avait pas des jambes de « gratte papier ». Des muscles fins jouaient sous la peau, preuve qu'il ne se contentait pas de rester assis à un bureau. Il devait pratiquer quelques sports, mais pas de la « gonflette ». Elle avait travaillé pour un culturiste pendant quelques jours. Elle avait démissionné assez rapidement en réalisant que le monsieur adorait exhiber ses muscles saillants à la moindre occasion.
- « Si vous révélez vos petits secrets à toute personne qui se présente à votre porte, ne me reprochez pas de les découvrir. » le taquina-t-elle en lui faisant un petit clin d’œil. « Et non. Je vous rassure. Je n'ajouterai pas l'affront de refuser votre offre à celui de vous avoir surpris au saut du lit. » ajouta-t-elle avec un petit sourire moqueur.
Elia avait espéré le surprendre dans une situation où il serait moins guindé, moins sérieux, mais visiblement, même lorsqu'il dormait Alexander devait le faire avec une grande classe. Avec son peignoir et ses chaussons élégants, il était encore l'incarnation parfaite de ce qu'on pouvait imaginer concernant un gentleman anglais. En fait, elle pouvait presque l'imaginer assis dans un fauteuil en cuir, une pipe à la main.
Elle faillit rire lorsque l'image qui s'était formée dans son esprit se superposa à celle d'un vieux film de Sherlock Holmes qu'elle avait vu, mais son sourire se mua en une légère moue. Elle aurait bien aimé le découvrir un peu plus humain.
A cette heure, seul l'immense sourire éclairant son visage, et ses propos concernant une petite sirène qui n'appréciaient pas les pantalons pouvaient paraître incongrus... Mais la jeune femme savait bien que ni le sourire ni les mots ne s'adressaient à elle. D'ailleurs, la fin de sa phrase s'évanouit, ainsi que son sourire, lorsqu'il découvrit que la personne qui se tenait devant sa porte n'était pas la petite sirène espérée, mais juste un petit passereaux moins fantastique et totalement inattendu.
Elia craignit un instant de se faire rembarrer. Elle avait eu l'occasion de voir combien le jeune homme, tout en restant parfaitement courtois pouvait être cassant. Elle avait eu l'impression que leur discussion sur le peignoir de Mr Hoffman était un petit défit, qu'elle avait été bien trop amusée de relever. Peut-être s'était-elle trompée ? Elle s'inquiéta. S'il était vraiment contrarié de la voir sur le pas de sa porte, il pourrait décider de retirer son offre. Se dire qu'il n'avait pas envie d'une assistante aussi culottée. Ce n'était peut être pas une bonne idée de venir le surprendre à cette heure matinale.
Pourtant, elle avait l'impression que c'était justement le culot qui l'amusait. Elle avait lu la biographie de Brigitte qu'il avait joint à la présentation de l'entreprise et de la formation. L'opulente blonde semblait elle même bien pourvu niveau audace, ne serait-ce qu'au niveau de ses goûts vestimentaires.
Elle n'eut pas le temps de s'inquiéter longtemps. La première surprise passée, les fines lèvres d'Alexander s'étirèrent à nouveau en un sourire énigmatique. Même si ce sourire était relativement inexpressif, juste l'expression qu'il n'allait pas la pourrir, là, tout de suite, dans le couloir, elle devina un certain amusement. Visiblement, il ne s'attendait pas à ce que la discrète Elia se pointe à la porte de sa chambre, mais son audace ne semblait plus l'amuser que l'agacer.
- « Je suis désolée de vous avoir posé un lapin hier soir, mais j'ai eu un petit imprévu. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. » dit-elle en se baissant pour gratifier le greffier qui se frottait à ses chevilles de quelques caresses.
Elle profita de cette position propice pour jeter un regard appréciateur aux mollets de Mr Hoffman, puisque c'est tout ce qu'elle avait à se mettre sous les yeux. Il n'avait pas des jambes de « gratte papier ». Des muscles fins jouaient sous la peau, preuve qu'il ne se contentait pas de rester assis à un bureau. Il devait pratiquer quelques sports, mais pas de la « gonflette ». Elle avait travaillé pour un culturiste pendant quelques jours. Elle avait démissionné assez rapidement en réalisant que le monsieur adorait exhiber ses muscles saillants à la moindre occasion.
- « Si vous révélez vos petits secrets à toute personne qui se présente à votre porte, ne me reprochez pas de les découvrir. » le taquina-t-elle en lui faisant un petit clin d’œil. « Et non. Je vous rassure. Je n'ajouterai pas l'affront de refuser votre offre à celui de vous avoir surpris au saut du lit. » ajouta-t-elle avec un petit sourire moqueur.
- Les divagations d'Elia:
La pirole déploie ses ailes (et son culot)
PV ELIA FISCHER & ALEXANDER HOFFMAN
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander



L’homme après, un moment de surprise, puisque qu’il ne s’attendait point à voir une Pirolle, il toisa la jeune femme. Si Erin, débarque à ce moment-là, il ne pourrait pas faire taire ses futures boutades. Car, il y avait de quoi rire sur plusieurs décennies, de mirer l’anglais en peignoir dans le couloir avec la chef des femmes de ménages. Machinalement et avec discrétion, son regard se tourna vers la droite et la gauche, comme pour vérifier que la consultante ne décide pas de sortir par cette heure matinale. Il l’espérait bien au chaud dans son lit, avec d’autre occupation que de venir frapper à sa porte.
Intérieurement, il riait de cette situation cocasse, s'il le raconte à son amie, elle allait vraiment lui en parler jusqu'à la fin des temps… du moins de leur temps. Ses tergiversations sur les boutades qu'il pourrait avoir de la part de la belle brune, furent stopper au moment, où Elia parla.
Un lapin ? Avec son travail, il avait oublié qu'elle devait venir, donc au final cela n'était pas très grave. Il haussa les épaules d'un air nonchalant. Bien entendu qu'il comprend manquerait plus qu'il lui fasse la morale sur ce point. Elle se baissa pour caresser Harry, qui se frottait avec beaucoup d'amour aux mollets du jeune homme. Machinalement, l'homme se décala sur le côté. Simplement mouvement mécanique, pour éviter un contact non voulu. Elle était tellement petite que le fait qu'elle se baisse lui donne l'impression d'être un géant.
Ils n'allaient pas rester là, comme deux pommiers dans le couloir quand même ? Et puis, bon il n'était pas vraiment à son aise de s'exposer en petite tenue…enfin même si la petite tenue est voilée par un peignoir. Il ressentait un certain gène, mais il ne laissa, comme à son habitude, rien paraître.
Elia, le taquina sur ses petits secrets. Il eut encore son rictus énigmatique. Il est vrai qu'elle a tendance à mettre le doigt (et les mains) là où il ne faut pas ! «Il n'y pas de secret à affirmer que les sirènes n'aiment pas les pantalons ». Répondit-il d'un air naturel, comme s'il n'avait rien à cacher.
Il eut un petit regard au coin en toisant la jeune femme. Il finissait son mouvement, pour qu'elle puisse entrer.
L'anglais, n'avait pas vraiment reçut beaucoup de personnes dans son antre depuis qu'il était arrivé. Mais globalement, sa chambre, était décorée avec le même goût que son bureau. Des meubles en bois modernes et aux lignes épurés, un canapé bleu marine, avec une table d'un blanc cassé et en bois brun par endroit.
Un paravent en bois lui aussi, servait de séparation entre la chambre et le séjour. Des tableaux ornaient les murs, des peintures moins abstraites. Une tête de lionne de 1m50 de long, imprimé sur un tissu blanc, était affiché sur le mur qui adossait le canapé. Elle était dessinée à l'encre noire et semblait mi-animal mi-végétale. D'autres tableau, plus animalier et abstrait était teinté de bleue marine, on pouvait y reconnaître les mouvements d'un chat. Il y avait un tapis, de cette couleur qui aimait beaucoup, sur la table basse en bi-matière. Un tapis avec des poils moelleux. Un grand arbre à chat en bois, ressemblant à un arbre était dans un coin. Celui du matou. Et un panier bleu (encore), était posé sur un des meubles près du lit.
Il lui fit signe de s'installer sur le canapé, pendant, il se baissait pour chercher dans un tiroir une pochette. Il avait souvent des doubles des documents. Mais, là, comme il était parti du bureau et sans nouvelle de la jeune femme, il avait pris avec lui le reste des documents, histoire d'être prêt s'il venait à la croiser dans un couloir… et dans ce cas si elle avait eu le culot de venir le voir chez lui.
La ceinture de son peignoir traînait un peu part terre, Harry sauta dessus, pour jouer avec. L’homme le chassa, hors de question que les jeux taquins de son animal, le découvre. En se relevant, il ne remarqua pas, la longueur de celle-ci. Ça sera peut-être une erreur fatale mais bon. Il leva les yeux vers la jeune femme, qui était à l’entrée de ses quartiers, la porte se referma derrière elle.
Il se déplaça gracieusement, jusqu’à un sac en cuir, où il sortit un stylo, celui en bois d’acajou qu’il avait toujours et le déposa sur la table basse avec les papiers.
L’homme avait la bougeotte et marcha vers sa commode. Le chat lui courait après, mais l’anglais ne le remarqua même pas… et surtout la raison.
Intérieurement, il riait de cette situation cocasse, s'il le raconte à son amie, elle allait vraiment lui en parler jusqu'à la fin des temps… du moins de leur temps. Ses tergiversations sur les boutades qu'il pourrait avoir de la part de la belle brune, furent stopper au moment, où Elia parla.
Un lapin ? Avec son travail, il avait oublié qu'elle devait venir, donc au final cela n'était pas très grave. Il haussa les épaules d'un air nonchalant. Bien entendu qu'il comprend manquerait plus qu'il lui fasse la morale sur ce point. Elle se baissa pour caresser Harry, qui se frottait avec beaucoup d'amour aux mollets du jeune homme. Machinalement, l'homme se décala sur le côté. Simplement mouvement mécanique, pour éviter un contact non voulu. Elle était tellement petite que le fait qu'elle se baisse lui donne l'impression d'être un géant.
Ils n'allaient pas rester là, comme deux pommiers dans le couloir quand même ? Et puis, bon il n'était pas vraiment à son aise de s'exposer en petite tenue…enfin même si la petite tenue est voilée par un peignoir. Il ressentait un certain gène, mais il ne laissa, comme à son habitude, rien paraître.
Elia, le taquina sur ses petits secrets. Il eut encore son rictus énigmatique. Il est vrai qu'elle a tendance à mettre le doigt (et les mains) là où il ne faut pas ! «Il n'y pas de secret à affirmer que les sirènes n'aiment pas les pantalons ». Répondit-il d'un air naturel, comme s'il n'avait rien à cacher.
Il eut un petit regard au coin en toisant la jeune femme. Il finissait son mouvement, pour qu'elle puisse entrer.
« Bon dans ce cas, on ne va pas rester dans le couloir. Entrée afin de signer les papiers ». dit-il de sa voix veloutée.
L'anglais, n'avait pas vraiment reçut beaucoup de personnes dans son antre depuis qu'il était arrivé. Mais globalement, sa chambre, était décorée avec le même goût que son bureau. Des meubles en bois modernes et aux lignes épurés, un canapé bleu marine, avec une table d'un blanc cassé et en bois brun par endroit.
Un paravent en bois lui aussi, servait de séparation entre la chambre et le séjour. Des tableaux ornaient les murs, des peintures moins abstraites. Une tête de lionne de 1m50 de long, imprimé sur un tissu blanc, était affiché sur le mur qui adossait le canapé. Elle était dessinée à l'encre noire et semblait mi-animal mi-végétale. D'autres tableau, plus animalier et abstrait était teinté de bleue marine, on pouvait y reconnaître les mouvements d'un chat. Il y avait un tapis, de cette couleur qui aimait beaucoup, sur la table basse en bi-matière. Un tapis avec des poils moelleux. Un grand arbre à chat en bois, ressemblant à un arbre était dans un coin. Celui du matou. Et un panier bleu (encore), était posé sur un des meubles près du lit.
Il lui fit signe de s'installer sur le canapé, pendant, il se baissait pour chercher dans un tiroir une pochette. Il avait souvent des doubles des documents. Mais, là, comme il était parti du bureau et sans nouvelle de la jeune femme, il avait pris avec lui le reste des documents, histoire d'être prêt s'il venait à la croiser dans un couloir… et dans ce cas si elle avait eu le culot de venir le voir chez lui.
La ceinture de son peignoir traînait un peu part terre, Harry sauta dessus, pour jouer avec. L’homme le chassa, hors de question que les jeux taquins de son animal, le découvre. En se relevant, il ne remarqua pas, la longueur de celle-ci. Ça sera peut-être une erreur fatale mais bon. Il leva les yeux vers la jeune femme, qui était à l’entrée de ses quartiers, la porte se referma derrière elle.
« Votre contrat, que vous signerez à votre retour. Ainsi, que les billets d’avions et autres documents pour les douanes et l’administration de l’entreprise ».
Il se déplaça gracieusement, jusqu’à un sac en cuir, où il sortit un stylo, celui en bois d’acajou qu’il avait toujours et le déposa sur la table basse avec les papiers.
L’homme avait la bougeotte et marcha vers sa commode. Le chat lui courait après, mais l’anglais ne le remarqua même pas… et surtout la raison.
- Tableaux:
Tu connais déjà la lionne
black pumpkin
_________________

Alexander Hoffman
Double comptes : Isia Taylor-Laurence & John Sheppard & Naalem Lays & Elana Ravix //écriture : firebrick
Alexander la toisa tandis qu'elle caressait le chat, lui indiquant qu'il était parfaitement normal pour une sirène de ne pas aimer les pantalons. Elle rit un peu du cours surrealiste que la conversation prenait. Elle se détourna probablement pour éviter que les doigts graciles d'Elia n'effleurent ses mollet pendant qu'elle caressait le chat, l'invitant à entrer pour finaliser leur accord.
Ce mouvement fit danser le bout de la ceinture de son peignoir, attirant l'attention d'Harry, qui commença à courir après pour jouer avec du bout de la patte. Le jeune homme, repoussa son chat du bout du pied, mais le greffier sembla penser que ce geste faisait parti du nouveau jeu que son maître lui proposait et se fit plus bondissant pour attraper le bout de la ceinture.
Elia entra dans la pièce, regardant avec curiosité l'antre privée de Mr Hoffman. Elle n'avait encore jamais eut l'occasion de venir faire le ménage dans cette pièce.
Comme son bureau, les mûrs accueillait quelques uns de ses tableaux. La pièce était agréable, un paravent séparait le coin « salon » de ce qu'elle devina être « la chambre ». Le salon était meublé dans le même style que son bureau, canapé, table basse bi-matière, dans un style moderne et épuré, tout en restant confortable et chaleureux. Son compagnon à poil n'avait pas été oublié. Un panier moelleux, assorti au bleu marine du tapis était posé à coté du canapé. Dans un coin de la pièce, trônait un immense arbre à chat, ressemblant étrangement à un véritable arbuste.
La première chose qu'elle remarqua fut une immense tenture blanche sur laquelle était imprimée une tête de lionne aux reflets végétaux. Elle sourit en le regardant, il lui semblait bien avoir vu dans les papier de Mr Hoffman à son bureau un croquis qui avait un clair air de famille avec cette œuvre magistrale. Est-ce qu'Alexander avait voulu recopier le tableau, ou avait-il fait imprimer sur cette tenture une de ses œuvres ? Elle ne le connaissait pas encore beaucoup, mais elle l'imaginait assez mal prendre plaisir à « copier » quelque chose qui aurait été crée par un autre. Elle était presque sure que cette œuvre, comme toute les autres étaient de lui.
D'autres œuvres de style plus abstraits, et en couleur égayaient les murs. Elle resta un instant en arrêt devant l'un d'eux, dans les tons de bleu et blanc, peint sur une toile longue et étroite. Elle reprit ses esprit lorsque Alexander l'invita à prendre place sur le canapé, se dirigeant vers son bureau pour y récupérer un dossier dont il lui expliqua qu'il contenait tout le nécessaire à son voyage et à sa formation.
Elle ne put retenir un petit rire.
- « Et bien, soit vous êtes magicien, soit vous aviez déjà prévu ma réponse pour avoir pu vous occuper de tout ça avant même que je ne vous ai donné ma réponse. »
Harry quant a lui jubilait. Il avait réussit à attraper sa proie, se balançant brièvement au bout de la ceinture avant que celle ci ne cède. Les choses s'enchaînèrent très vite. Le peignoir s'ouvrit. Mr Hoffman pila et se baissa pour tenter de reprendre sa ceinture au petit fauve. Un pan de son peignoir toucha le sol.
Elia, se dirigeant vers le canapé marcha sur le tissus, avant de s'arrêter à son tour sans remarquer qu'elle avait posé son pied sur le tissus. Lorsque Alexander se releva brusquement, contrarié que son chat tente de le dévêtir ainsi, le coin du peignoir resta plaqué au sol et le reste du vêtement lui fut brutalement arraché.
La surprise fit ouvrir de grand yeux stupéfaits à la jeune femme, elle posa sa main sur sa bouche en voyant le vêtement glisser des épaules de Mr Hoffman et de dévoiler ainsi son anatomie. Elle n'avait pas espérer en découvrir autant de son interlocuteur. A présent, il n'était vêtu que d'un boxer de grande marque, bleu marine attirant l’œil sur le galbe de son charmant popotin. La première stupeur passée, elle éclata de rire en se baissant pour ramasser le peignoir et le lui tendre.
Au passage, elle en profita pour admirer la plastique de Mr Hoffman. Il était aussi bien foutu que ce qu'elle avait imaginé. Même si elle savait que parfois un bon tailleur pouvait faire des miracle et masquer les petites imperfections d'une silhouette. Il était clair que Mr Hoffman n'avait pas besoin de recourir à ce genre d'astuce.
Son corps était racé, élégant. Sous sa peau pâle, des muscles fin et secs jouaient. Elle remarqua plusieurs cicatrices, ce qui ressemblait à l'ombre du souvenir de crocs dans son dos, et lorsqu'il se retourna, une autre sur son torse, plus marqué mais dont elle n'arrivait pas à deviner la provenance. Curieusement, ses imperfections sur son corps le lui rendirent plus sympathique, plus humain. De même que sa réaction lorsqu'il se retourna pour récupérer son vêtement.
Il n'avait plus cet air supérieur et froid. Ses joues, piqueté d'une barbe blonde naissante avait pris une jolie couleur vermillon, et son regard bleu recelait une sorte de timidité qu'elle n'aurait jamais cru y voir. Elle lui tendit le peignoir avec un doux sourire et un regard espiègle.
- « C'est moins élégant, j'en conviens, mais avec un chat voyeur dans les pattes, peut être que vous devriez envisager de porter un peignoir avec une fermeture éclair. » le taquina-t-elle
Ce mouvement fit danser le bout de la ceinture de son peignoir, attirant l'attention d'Harry, qui commença à courir après pour jouer avec du bout de la patte. Le jeune homme, repoussa son chat du bout du pied, mais le greffier sembla penser que ce geste faisait parti du nouveau jeu que son maître lui proposait et se fit plus bondissant pour attraper le bout de la ceinture.
Elia entra dans la pièce, regardant avec curiosité l'antre privée de Mr Hoffman. Elle n'avait encore jamais eut l'occasion de venir faire le ménage dans cette pièce.
Comme son bureau, les mûrs accueillait quelques uns de ses tableaux. La pièce était agréable, un paravent séparait le coin « salon » de ce qu'elle devina être « la chambre ». Le salon était meublé dans le même style que son bureau, canapé, table basse bi-matière, dans un style moderne et épuré, tout en restant confortable et chaleureux. Son compagnon à poil n'avait pas été oublié. Un panier moelleux, assorti au bleu marine du tapis était posé à coté du canapé. Dans un coin de la pièce, trônait un immense arbre à chat, ressemblant étrangement à un véritable arbuste.
La première chose qu'elle remarqua fut une immense tenture blanche sur laquelle était imprimée une tête de lionne aux reflets végétaux. Elle sourit en le regardant, il lui semblait bien avoir vu dans les papier de Mr Hoffman à son bureau un croquis qui avait un clair air de famille avec cette œuvre magistrale. Est-ce qu'Alexander avait voulu recopier le tableau, ou avait-il fait imprimer sur cette tenture une de ses œuvres ? Elle ne le connaissait pas encore beaucoup, mais elle l'imaginait assez mal prendre plaisir à « copier » quelque chose qui aurait été crée par un autre. Elle était presque sure que cette œuvre, comme toute les autres étaient de lui.
D'autres œuvres de style plus abstraits, et en couleur égayaient les murs. Elle resta un instant en arrêt devant l'un d'eux, dans les tons de bleu et blanc, peint sur une toile longue et étroite. Elle reprit ses esprit lorsque Alexander l'invita à prendre place sur le canapé, se dirigeant vers son bureau pour y récupérer un dossier dont il lui expliqua qu'il contenait tout le nécessaire à son voyage et à sa formation.
Elle ne put retenir un petit rire.
- « Et bien, soit vous êtes magicien, soit vous aviez déjà prévu ma réponse pour avoir pu vous occuper de tout ça avant même que je ne vous ai donné ma réponse. »
Harry quant a lui jubilait. Il avait réussit à attraper sa proie, se balançant brièvement au bout de la ceinture avant que celle ci ne cède. Les choses s'enchaînèrent très vite. Le peignoir s'ouvrit. Mr Hoffman pila et se baissa pour tenter de reprendre sa ceinture au petit fauve. Un pan de son peignoir toucha le sol.
Elia, se dirigeant vers le canapé marcha sur le tissus, avant de s'arrêter à son tour sans remarquer qu'elle avait posé son pied sur le tissus. Lorsque Alexander se releva brusquement, contrarié que son chat tente de le dévêtir ainsi, le coin du peignoir resta plaqué au sol et le reste du vêtement lui fut brutalement arraché.
La surprise fit ouvrir de grand yeux stupéfaits à la jeune femme, elle posa sa main sur sa bouche en voyant le vêtement glisser des épaules de Mr Hoffman et de dévoiler ainsi son anatomie. Elle n'avait pas espérer en découvrir autant de son interlocuteur. A présent, il n'était vêtu que d'un boxer de grande marque, bleu marine attirant l’œil sur le galbe de son charmant popotin. La première stupeur passée, elle éclata de rire en se baissant pour ramasser le peignoir et le lui tendre.
Au passage, elle en profita pour admirer la plastique de Mr Hoffman. Il était aussi bien foutu que ce qu'elle avait imaginé. Même si elle savait que parfois un bon tailleur pouvait faire des miracle et masquer les petites imperfections d'une silhouette. Il était clair que Mr Hoffman n'avait pas besoin de recourir à ce genre d'astuce.
Son corps était racé, élégant. Sous sa peau pâle, des muscles fin et secs jouaient. Elle remarqua plusieurs cicatrices, ce qui ressemblait à l'ombre du souvenir de crocs dans son dos, et lorsqu'il se retourna, une autre sur son torse, plus marqué mais dont elle n'arrivait pas à deviner la provenance. Curieusement, ses imperfections sur son corps le lui rendirent plus sympathique, plus humain. De même que sa réaction lorsqu'il se retourna pour récupérer son vêtement.
Il n'avait plus cet air supérieur et froid. Ses joues, piqueté d'une barbe blonde naissante avait pris une jolie couleur vermillon, et son regard bleu recelait une sorte de timidité qu'elle n'aurait jamais cru y voir. Elle lui tendit le peignoir avec un doux sourire et un regard espiègle.
- « C'est moins élégant, j'en conviens, mais avec un chat voyeur dans les pattes, peut être que vous devriez envisager de porter un peignoir avec une fermeture éclair. » le taquina-t-elle
La pirole déploie ses ailes (et son culot)
PV ELIA FISCHER & ALEXANDER HOFFMAN
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander
Chronologie : Le lendemain de la deuxième entrevue avec Alexander



Il a des jours il vaudrait mieux rester terrer au fond de son lit. Et l'anglais allait comprendre tout ce sens à cet instant.
La jeune femme pénétra dans la chambre, observant les murs ornés de tableaux ainsi que le reste de la pièce. L'homme la toisa quelques secondes, quand elle détaillait la pièce avec un vif intérêt. Elle était curieuse (un trait de caractère qui était vital pour l'homme) et semblait apprécier les œuvres décoratifs. Elle se perdit sur l'une des toiles bleues et blanches. Il leva les yeux vers le cadre, un simple rictus sur les lèvres. Il l'aimait bien lui aussi, il l'avait peint, y mettant plusieurs sentiments dedans, chacune toile basées sur un souvenir avec des perceptions, des ressenties. C'est son style, qu'importe si les autres ressentent d'autres émotions face à ses œuvres. Cela est une part de mystère et il aimait entendre ou voir les pensées des autres faces à ses dessins, souvent loin de laisser indifférents.
Il lui fit signe de prendre place, pour qu'elle ouvre le contenu de cette pochette qui allait lui être utile pour voyager. Elle émit un petit rire, un peu étonné qu'il ait tout prévus. Oui en effet, il avait misé sur le fait qu'elle accepte. C'est un risque peut-être mais bon, l'homme était joueur et avait bien analysé les risques entre le oui et le non et avait conclue qu'il y avait plus de chance d'avoir une acceptation qu'un refus. Et comme il voulait aller vite pour qu'elle soit opérationnelle rapidement, il avait déjà tout prévu. Un rictus se dessina sur les lèvres, on pouvait y comprendre un air hautin, même si cela n'était pas le cas.
Il ne sentait pas les mouvements de son chat. Ignorant clairement le jeu de l'animal, assez concentré sur la jeune femme. Il aurait peut-être dû s'inquiéter un peu plus, des sauts et autres bonds du petit chat tacheté. Il réussit à se balancer au bout de la corde, tirant pour ouvrir le vêtement, la ceinture clissa sous la pression de l'animal. L'homme fut surpris et tenu les pans de son peignoir, se baissant pour rattraper la ceinture afin d'éviter de se retrouver nu en courant après l'animal. Alors, qu'il bataillait avec Harry, pour récupérer le cordon tout en tenant son peignoir, il ne vu pas ma maladresse d'Elia, qui venait de marcher sur l'un des bords de l'habit de nuit. Tout se passa assez vite. Il récupéra la ceinture des griffes de son félin surexcité par le jeu et qui sautillait par tout.
Mais il n'était pas au bout de sa peine, puisqu'en se relevant un peu brusquement le pan du peignoir était resté sous le pied de la jeune femme et ce qui arriva, arriva, le vêtement quitta sa silhouette pour choir sur le sol.
La stupeur marqua le visage de l'anglais, déjà contrarié par l'envie de son minet de le dévêtir. Il sentie les griffes de la honte inonder son corps, la chaleur monta et le rouge teinta ses joues blanches. Il ne pouvait pas contrôler cette réaction physiologique… Qu'elle honte, lui qui est de nature très pudique se retrouvait en boxer devant une « inconnue ». Autant, cela ne l'aurait pas dérangé avec quelqu'un d'intime dans un contexte approprié à ce genre de tenue… mais là ! Certes il était dans ses quartiers et heureusement), mais avec sa future assistante. Elle était bien la seule à pouvoir voire son patron, a moitié nu avant de signer le contrat…ou voir son chef dans cette tenue tout court ! Si elle raconte ça à Brigitte, la jeune femme blonde et rondes allait crever de jalousie.
Déjà qu'il ressentait de la gêne de lui offrir le spectacle peu glorieux de lui ouvrir en peignoir, mais là se retrouver sans celui-ci, lui était insupportable. Au moins, si elle était venue le voir, dans l'espoir de la surprendre, elle n'avait pas raté sa journée elle. Il se redressa, ne pouvant pas vraiment cacher son corps musclé et martelé de cicatrices par endroit à la vue de la jeune femme, qui riait de cette cocasse situation.
Dans sa tête, il hurlait, n'appréciant que très peu le trait d'humour du destin.
À croire qu'Elia, avait le don, pour mettre le doigt (et le pied) là où il ne fallait pas. Il se senti prodigieusement agacé par cette action. Lui, qui était toujours nickel et élégant, se retrouvait sans rien, même s'il ignorait que même en sous-vêtement une grande class s'émanait de sa silhouette.
Il jeta un regard mauvais sur son chat. Celui-ci baissa les oreilles et courue se cacher sous la table base, ayant compris qu'il avait fait une connerie monumentale. L'anglais, leva les yeux au ciel, autant il savait que son animal, n'était qu'un bâtard, mais il avait la corpulence et les couleurs d'un Bengale. Il y a de grande chance, que la maman, une jolie gouttière tricolore (il l'avait vu morte), avait fautée avec un monsieur doté d'un pédigré. Dans un sens, la chatte sauvage avait son territoire dans une zone habitable et il ne serait pas étonnant qu'un beau Bengale entier soit maître du quartier ou se soit échappé de son enclos de son élevage.
Cette histoire, était arrivé à une jeune éleveuse à côté de chez lui durant sa jeunesse. Elle faisait du Maine Coon et son mâle, un peu trop enclin à rendre service aux dames, avait percé le grillage pour saillir une petite chatte errante donnant de jolies et soyeux bâtards à une propriétaire heureuse.
Enfin, bon, pour revenir aux origines d'Harry, ce côté Bengale, expliquait son apparence de mini léopard brun, mais aussi son excellente détente au saut et ses airs de chasseur exceptionnel.
Il regarda la jeune femme, honteux, il resta stoïque, ne laissa rien paraître sur son visage devenu ferme et tendu. Il était revenu un bloc de glace avec un regard polaire. Il prit son peignoir qu'elle avait ramassé.
Il l'enfila dans un mouvement élégant et fluide, prenant gaffe à faire un nœud papillon avec sa peinture pour ne pas qu'elle traîne au sol et que cette situation inconfortable ne se reproduise.
Il avait bien entendu, aperçu le regard espiègle et le rictus doux, mais cela ne calma nullement, les foudres qui animaient l'homme intérieurement. Il aurait bien aimé trouver une machine, pour lui faire oublier ce qu'elle venait de voir. C'est bête, mais il était certain que cet épisode allait la marquer et pour le peu qu'elle le trouve agréable, elle allait s'en souvenir un peu trop souvent. Il avait horreur de son corps, un brin trop tatouer des cicatrices qui lui rappelleraient des parts sombres de son enfance. Et il évitait de dévêtir en présence d'autrui, malgré sa belle plastique enviable et désirable.
Il était étonnant qu'un homme de bureau prennent autant soin de ce muscler de manière homogène et correcte. Mais cela traduisait un autre trait de caractère de l'anglais. Il aimait se battre, dans tous les sens du terme, les challenges, les défis, les projets et aussi physiquement. Il y trouva une certaine jouissance à des joutes verbales et autres affronts moins philosophique. Depuis, tout petit, il avait appris à être un combattant, autant pour se défendre des poings de ses camardes que d'aiguiser son esprit.
Enfin bon, il écouta la petite taquinerie de la jeune femme, le visage fermé. Oui, il aurait pu en rire, mais là, il avait du mal à avaler la boule honteuse qui stagnai dans sa trachée. C'est ça, d'être quelqu'un, un brin trop fière et surtout pudique. Rien de timide, juste de la pudeur. Il n'avait qu'une envie, c'est de lui dire, qu'il allait se doucher pour revêtir enfin des vêtements décents, mais bon il était impoli de la laisser là dans le salon. Il se sentait sale sur le coup.
Il marcha vers la table basse, pour s’asseoir sur le canapé et ouvrir la pochette pour lui sortir tous les papiers. Elle avait tout son temps pour les lires. Clause de confidentialité, sur la Falcon, son contrat (horaires, sa paye qui était conséquente, avantages en nature …), ses missions et un catalogue pour qu’elle choisisse les meubles de son futur bureau.
La jeune femme pénétra dans la chambre, observant les murs ornés de tableaux ainsi que le reste de la pièce. L'homme la toisa quelques secondes, quand elle détaillait la pièce avec un vif intérêt. Elle était curieuse (un trait de caractère qui était vital pour l'homme) et semblait apprécier les œuvres décoratifs. Elle se perdit sur l'une des toiles bleues et blanches. Il leva les yeux vers le cadre, un simple rictus sur les lèvres. Il l'aimait bien lui aussi, il l'avait peint, y mettant plusieurs sentiments dedans, chacune toile basées sur un souvenir avec des perceptions, des ressenties. C'est son style, qu'importe si les autres ressentent d'autres émotions face à ses œuvres. Cela est une part de mystère et il aimait entendre ou voir les pensées des autres faces à ses dessins, souvent loin de laisser indifférents.
Il lui fit signe de prendre place, pour qu'elle ouvre le contenu de cette pochette qui allait lui être utile pour voyager. Elle émit un petit rire, un peu étonné qu'il ait tout prévus. Oui en effet, il avait misé sur le fait qu'elle accepte. C'est un risque peut-être mais bon, l'homme était joueur et avait bien analysé les risques entre le oui et le non et avait conclue qu'il y avait plus de chance d'avoir une acceptation qu'un refus. Et comme il voulait aller vite pour qu'elle soit opérationnelle rapidement, il avait déjà tout prévu. Un rictus se dessina sur les lèvres, on pouvait y comprendre un air hautin, même si cela n'était pas le cas.
« Je suis très prévoyant, vous verrez ».
Il ne sentait pas les mouvements de son chat. Ignorant clairement le jeu de l'animal, assez concentré sur la jeune femme. Il aurait peut-être dû s'inquiéter un peu plus, des sauts et autres bonds du petit chat tacheté. Il réussit à se balancer au bout de la corde, tirant pour ouvrir le vêtement, la ceinture clissa sous la pression de l'animal. L'homme fut surpris et tenu les pans de son peignoir, se baissant pour rattraper la ceinture afin d'éviter de se retrouver nu en courant après l'animal. Alors, qu'il bataillait avec Harry, pour récupérer le cordon tout en tenant son peignoir, il ne vu pas ma maladresse d'Elia, qui venait de marcher sur l'un des bords de l'habit de nuit. Tout se passa assez vite. Il récupéra la ceinture des griffes de son félin surexcité par le jeu et qui sautillait par tout.
« Harry ça suffit »,
Répliqua l'anglais agacé. Il ne désirait nullement se donner en spectacle devant la jeune femme.
Répliqua l'anglais agacé. Il ne désirait nullement se donner en spectacle devant la jeune femme.
Mais il n'était pas au bout de sa peine, puisqu'en se relevant un peu brusquement le pan du peignoir était resté sous le pied de la jeune femme et ce qui arriva, arriva, le vêtement quitta sa silhouette pour choir sur le sol.
La stupeur marqua le visage de l'anglais, déjà contrarié par l'envie de son minet de le dévêtir. Il sentie les griffes de la honte inonder son corps, la chaleur monta et le rouge teinta ses joues blanches. Il ne pouvait pas contrôler cette réaction physiologique… Qu'elle honte, lui qui est de nature très pudique se retrouvait en boxer devant une « inconnue ». Autant, cela ne l'aurait pas dérangé avec quelqu'un d'intime dans un contexte approprié à ce genre de tenue… mais là ! Certes il était dans ses quartiers et heureusement), mais avec sa future assistante. Elle était bien la seule à pouvoir voire son patron, a moitié nu avant de signer le contrat…ou voir son chef dans cette tenue tout court ! Si elle raconte ça à Brigitte, la jeune femme blonde et rondes allait crever de jalousie.
Déjà qu'il ressentait de la gêne de lui offrir le spectacle peu glorieux de lui ouvrir en peignoir, mais là se retrouver sans celui-ci, lui était insupportable. Au moins, si elle était venue le voir, dans l'espoir de la surprendre, elle n'avait pas raté sa journée elle. Il se redressa, ne pouvant pas vraiment cacher son corps musclé et martelé de cicatrices par endroit à la vue de la jeune femme, qui riait de cette cocasse situation.
Dans sa tête, il hurlait, n'appréciant que très peu le trait d'humour du destin.
À croire qu'Elia, avait le don, pour mettre le doigt (et le pied) là où il ne fallait pas. Il se senti prodigieusement agacé par cette action. Lui, qui était toujours nickel et élégant, se retrouvait sans rien, même s'il ignorait que même en sous-vêtement une grande class s'émanait de sa silhouette.
Il jeta un regard mauvais sur son chat. Celui-ci baissa les oreilles et courue se cacher sous la table base, ayant compris qu'il avait fait une connerie monumentale. L'anglais, leva les yeux au ciel, autant il savait que son animal, n'était qu'un bâtard, mais il avait la corpulence et les couleurs d'un Bengale. Il y a de grande chance, que la maman, une jolie gouttière tricolore (il l'avait vu morte), avait fautée avec un monsieur doté d'un pédigré. Dans un sens, la chatte sauvage avait son territoire dans une zone habitable et il ne serait pas étonnant qu'un beau Bengale entier soit maître du quartier ou se soit échappé de son enclos de son élevage.
Cette histoire, était arrivé à une jeune éleveuse à côté de chez lui durant sa jeunesse. Elle faisait du Maine Coon et son mâle, un peu trop enclin à rendre service aux dames, avait percé le grillage pour saillir une petite chatte errante donnant de jolies et soyeux bâtards à une propriétaire heureuse.
Enfin, bon, pour revenir aux origines d'Harry, ce côté Bengale, expliquait son apparence de mini léopard brun, mais aussi son excellente détente au saut et ses airs de chasseur exceptionnel.
Il regarda la jeune femme, honteux, il resta stoïque, ne laissa rien paraître sur son visage devenu ferme et tendu. Il était revenu un bloc de glace avec un regard polaire. Il prit son peignoir qu'elle avait ramassé.
« Merci »,
Fut le seul mot qui franchissait l'iceberg de ses lèvres.
Fut le seul mot qui franchissait l'iceberg de ses lèvres.
Il l'enfila dans un mouvement élégant et fluide, prenant gaffe à faire un nœud papillon avec sa peinture pour ne pas qu'elle traîne au sol et que cette situation inconfortable ne se reproduise.
Il avait bien entendu, aperçu le regard espiègle et le rictus doux, mais cela ne calma nullement, les foudres qui animaient l'homme intérieurement. Il aurait bien aimé trouver une machine, pour lui faire oublier ce qu'elle venait de voir. C'est bête, mais il était certain que cet épisode allait la marquer et pour le peu qu'elle le trouve agréable, elle allait s'en souvenir un peu trop souvent. Il avait horreur de son corps, un brin trop tatouer des cicatrices qui lui rappelleraient des parts sombres de son enfance. Et il évitait de dévêtir en présence d'autrui, malgré sa belle plastique enviable et désirable.
Il était étonnant qu'un homme de bureau prennent autant soin de ce muscler de manière homogène et correcte. Mais cela traduisait un autre trait de caractère de l'anglais. Il aimait se battre, dans tous les sens du terme, les challenges, les défis, les projets et aussi physiquement. Il y trouva une certaine jouissance à des joutes verbales et autres affronts moins philosophique. Depuis, tout petit, il avait appris à être un combattant, autant pour se défendre des poings de ses camardes que d'aiguiser son esprit.
Enfin bon, il écouta la petite taquinerie de la jeune femme, le visage fermé. Oui, il aurait pu en rire, mais là, il avait du mal à avaler la boule honteuse qui stagnai dans sa trachée. C'est ça, d'être quelqu'un, un brin trop fière et surtout pudique. Rien de timide, juste de la pudeur. Il n'avait qu'une envie, c'est de lui dire, qu'il allait se doucher pour revêtir enfin des vêtements décents, mais bon il était impoli de la laisser là dans le salon. Il se sentait sale sur le coup.
« Navré du spectacle »
Fut encore une fois, une phrase courte, qui témoignait de sa gêne et du fait qu’il ne se trouvait pas agréable. Il tenta un peu d’humour, pour lui signifier qu’il n’était pas en colère contre elle.
« Ne raconter jamais ça à Brigitte, elle serait morte de jalousie ».
Il y mit un peu d’amusement dans sa voix, même s’il n’était pas d’humeur. Il savait mimer les expressions, pour faire passer la pilule. C’est aussi un manipulateur quand il le désir.
Fut encore une fois, une phrase courte, qui témoignait de sa gêne et du fait qu’il ne se trouvait pas agréable. Il tenta un peu d’humour, pour lui signifier qu’il n’était pas en colère contre elle.
« Ne raconter jamais ça à Brigitte, elle serait morte de jalousie ».
Il y mit un peu d’amusement dans sa voix, même s’il n’était pas d’humeur. Il savait mimer les expressions, pour faire passer la pilule. C’est aussi un manipulateur quand il le désir.
Il marcha vers la table basse, pour s’asseoir sur le canapé et ouvrir la pochette pour lui sortir tous les papiers. Elle avait tout son temps pour les lires. Clause de confidentialité, sur la Falcon, son contrat (horaires, sa paye qui était conséquente, avantages en nature …), ses missions et un catalogue pour qu’elle choisisse les meubles de son futur bureau.
« Niveau tenue vestimentaire, je vous demanderai de ne pas enfiler cet affreux uniforme. Après vous mettez ce que vous voulez, tant que ce n’est pas vulgaire, sale, baba cool et signe d’un relâchement intolérable ». Il ne lui parla pas des couleurs cela appartenait aux goûts d’autrui et il n’avait pas exiger des tenues neutres pour son confort visuel. « C’est un peu rapide, mais vous allez partir dans 5 jours, a votre retour votre bureau sera prêt, choisissez vos meubles et décoration sans vous soucier du prix ». Il la regarda enfin. « Vous serez accolé au miens, avec une porte entre nos deux bureaux, souvent ouverte, pour communiquer ».
black pumpkin
_________________

Alexander Hoffman
Double comptes : Isia Taylor-Laurence & John Sheppard & Naalem Lays & Elana Ravix //écriture : firebrick